replique montre

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terça-feira, 25 de julho de 2017

Chopard LUC 1963

Chaque année, il semble y avoir une nouvelle série d'anniversaires dans le monde de la montre, et 2014 ne fait pas exception. Le nouveau Chopard LUC 1963, premier ministre à Baselworld, commémore la 50ème année de la propriété de Chopard par la famille Scheufele avec une montre-bracelet inspirée de l'âge d'or des pocketwatches chronométriques.
Chopard décrit le LUC 1963 (les initiales sont pour le fondateur de la marque Louis-Ulysse Chopard) comme «une montre-bracelet équipée d'un mouvement de montre de poche» et «un descendant direct des chronomètres que Chopard produisait encore en 1963.» Sa caractéristique de signature est Son énorme cadran, qui occupe presque tout le diamètre de son étui généreusement proportionné de 44 mm. La taille impressionnante du cadran correspond à celle du mouvement , Chopard LUC Calibre 63.01-L, qui mesure un diamètre total de 38 mm.
L'étui est en or rose 18 carats, avec des surfaces courbes et brossées et une lunette arrondie et polie . Le cadran blanc de style porcelaine comporte une petite sous-cadran à 9 heures, des mains dauphine, des chiffres romains noirs et un cercle de minutes de voie ferrée - toutes les références directes aux montres chronomètres classiques d'antan. Cependant, Chopard a ajouté des torsions modernes à plusieurs de ces éléments: la sous-base des secondes chevauche la piste des minutes et les chiffres arabes rouges sportifs. Le style des mains dauphine correspond à celui des autres montres Chopard LUC modernes. Les chiffres romains suivent la forme arrondie du cadran et ont alternativement des barres solides et minces. Les «traverses» noires sur la piste minuscule ne touchent pas les bords des «rails» noirs solides, ce qui rend une esthétique légèrement plus légère et plus ouverte.
Chopard LUC 1963 - avant
Chopard LUC 1963 - côté

Le LUC Caliber 63.01-L de Chopard est une version plus petite du Calibre 06.01-L antérieur, que la société a développé en partenariat avec l'École d'horlogerie de Genève et a présenté son modèle "LUC Louis-Ulysse Chopard - The Tribute" dans la 150ème édition de Chopard. Année anniversaire de 2010 (voir ce que nous entendons pour les anniversaires?). Il est, comme on l'a noté précédemment, un grand mouvement, mais celui avec une architecture très simple car il ne comporte pas de complications horlogères majeures, seulement des heures, des minutes et des petites secondes. Il a un traitement en deux tons (or rose et acier) qui améliore son aspect tridimensionnel. Les finitions accrocheuses incluent le grain circulaire sur la plaque principale, et les ponts en nickel et ornés de côtes de Genève . Le nickel argenté n'est pas seulement un alliage plus noble que le laiton, Qui est plus couramment utilisé pour faire des ponts de mouvement, mais aussi plus difficile et plus difficile à travailler en raison de sa tendance à rayer. Le mouvement possède également un assemblage d'index de cou de cygne.
Conformément à la tradition chronométrique à laquelle il rend hommage, la montre possède à la fois une certification COSC et le sceau de qualité Hallmark de Genève . Il porte une réserve de marche de 60 heures et une fréquence de 28.800 vph, et est visible sous le grand fond d'exposition de saphir. Le Chopard LUC 1963 est disponible en 18k en or rose (version illustrée) ou en platine, chacun d'une longueur limitée à 50 pièces, et est livré avec une sangle en cuir alligator marron cousu à la main, doublé de cuir alligator à cognac. Il sera disponible au détail au printemps, prochainement après son lancement officiel à Baselworld 2014 et sera évalué à partir de 37 580 $.
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quinta-feira, 6 de julho de 2017

Cartier: Drive-Plate supplémentaire

Il y a une sorte de tradition chez Cartier: chaque boîtier phare du catalogue subit un traitement esthétique lui donnant un aspect plus fin et élancé afin de lui permettre d'héberger le mouvement à remontage manuel 430 MC. Les résultats sont souvent très convaincants car à travers cette démarche, je retrouve pleinement le Cartier que j'aime, élégant, simple et raffiné.

Lorsque le boîtier Drive fut présenté en 2016, j'imaginais déjà ce que pourrait être une telle montre. La forme du boîtier (que je pourrais qualifier de coussin de caractère!) recelait en effet un très grand potentiel. En réduisant la taille, en modifiant légèrement les proportions, une Drive à remontage manuel pouvait dans mon esprit incarner une parfaite montre de dandy. Un an plus tard, mon voeu est exaucé: Cartier vient de dévoiler lors du SIHH 2017 la Drive Extra-Plate et le moins que je puisse dire est qu'elle répond totalement à mes attentes.


Le travail sur le boîtier est plus complexe qu'il n'y paraît. Il ne s'agit pas d'une simple réduction de taille et d'épaisseur. Cartier a également travaillé sur les volumes  transformant ainsi légèrement le style de la Drive initiale. L'effet "galet" s'estompe et en diminuant la hauteur du boîtier, Cartier dut également revoir la courbure du verre. La raison est simple: si le verre avait conservé sa forme originale, la montre aurait semblé déséquilibrée en donnant trop d'importance au saphir par rapport au boîtier. Evidemment, nous pouvons regretter cette modification de l'esprit de la Drive car  ses rondeurs et ses courbes font partie de son charme. Mais je dois avouer que je ne fus nullement dérangé par cette évolution. Tout d'abord, elle permet à la montre de respecter le critère de l'extra-plat: avec une hauteur de boîtier de 6,6mm, la Drive Extra-Plate offre un résultat tout à fait satisfaisant... tout en conservant assez d'épaisseur pour ne pas perdre de présence sur le poignet. Ensuite, en devenant plus plat, le verre capte moins les reflets et rend ainsi le cadran plus lisible.


La réduction de la taille est significative. Le boîtier perd 2mm en largeur et en longueur (38x39mm vs 40x41mm pour la Drive Automatique) ce qui est conséquent et visible à l'oeil nu. Cette réduction est amplifiée par la forme du boîtier et lorsque nous mettons la Drive Automatique et la Drive Extra-Plate côte à côte, la différence de taille semble bien plus importante que les simples mesures ne l'indiquent. Cependant, je considère les dimensions de la Drive Extra-Plate comme une excellente nouvelle. J'ai tendance à trouver la Drive Automatique un peu grande et surtout, la montre gagne en raffinement. Une fois mise au poignet, elle offre un rendu équilibré qui lui permet d'être portée par tout type de poignet, y compris les poignets féminins. L'autre bonne surprise due aux proportions harmonieuses est que la Drive Extra-Plate évite l'effet "oeuf sur le plat" malgré la cure d'amaigrissement impactant de plus de 4mm la hauteur du boîtier.


Cartier ne s'est pas contenté de travailler sur le boîtier. Le cadran subit aussi d'importantes modifications. Les parties guillochées disparaissent tout comme le guichet de date et la trotteuse (le mouvement 430 MC n'en possède pas). Le cadran argenté est homogène, aux finitions satinées et soleillées. En revanche, les aiguilles glaive sont conservées. La question qui se pose est de savoir si le cadran ne manque pas d'animation. Et lorsque j'ai porté cette montre, je n'ai pas eu cette sensation. Le cadran comporte suffisamment de reflets pour éviter de sombrer dans l'ennui. Les dimensions plus contenues rendent les parties vides moins présentes visuellement. La pureté esthétique du cadran est à mes yeux appréciable et correspond bien à l'image que je me fais d'une montre simple à remontage manuel. Dans ce contexte, je ne regrette pas non plus le retrait des éléments guillochés.

La Cartier Drive Extra-Plate est aussi à l'aise sur un poignet féminin:


Le fond du boîtier est plein, contexte extra-plat oblige: un fond transparent aurait rendu la montre plus épaisse. N'oublions pas non plus que le mouvement 430 MC (qui est en fait le calibre Piaget 430P) est petit (20mm de diamètre) et le rendre visible ne serait pas forcément une idée judicieuse car il semblerait perdu dans le boîtier. Les performances du mouvement sont classiques, à savoir une fréquence de 3hz et une réserve de marche d'une quarantaine d'heures. Le remontage quotidien est donc requis mais c'est loin d'être une contrainte: la manipulation de la couronne est facile et le remontage s'effectue avec douceur et de façon agréable.


La Cartier Drive Extra-Plate est disponible en deux versions: l'une en or rose qui rentre dans la collection permanente, l'autre en or gris étrangement éditée dans le contexte d'une série limitée de 200 exemplaires. J'apprécie beaucoup la chaleur de la version en or rose. La version en or gris est plus discrète et peut-être aussi plus contemporaine. Elle est équipée d'un très beau bracelet gris qui lui donne une petite touche d'originalité.


Je considère donc la  Drive Extra-Plate comme une très belle réussite de la part de Cartier. Elle profite pleinement de la forme du boîtier pour sortir du lot et offrir un mélange harmonieux d'élégance et de caractère. Ses proportions équilibrées constituent son meilleur atout et lui permettent d'être à l'aise aussi bien sur des poignets masculins que féminins. Le petit rituel du remontage quotidien contribue également à son charme. Voilà le Cartier que j'apprécie.
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